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Bienvenue toutes et tous pour le 23ème Dredi du Schmilblicquizz !
1) Désormais tout questionneur ou trouveur peut redonner ses gains dans une cagnotte, dans la limite de 30 crédits, ou les donner à la personne de son choix sur le site ( de préférence en MP à mon adresse ).
2) Bien sûr les anciennes récompenses sont toujours valables, à savoir :
- 3 crédits si énigme trouvée au 1er indice, 2 au deuxième ou au 3ème.
- 2 crédits accordés pour toute énigme envoyée et publiée,
3) - 2 crédits normaux gagnés pourront être échangés contre 1 crédit premium ( sauf pour la cagnotte ) sur demande des lauréat e s ! (si possible en MP)
- 3 crédits accordés pour toute énigme animée par un questionneur même modérateur.
CHACUN(E) EST INVITÉ(E) ET BIENVENU(E) POUR POSTER ET ANIMER ICI SON ÉNIGME, ENVOYEZ MOI MP, Si INTÉRESSÉ(E)S, MERCI !
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J'ouvre un peu nostalgique le Schmilblicquizz 114 !
Sans virer au tragique, nos chercheurs se raréfient
Se diversifient ou s'évaporsent
En tous cas revoici ici ce Dredi
Le génial Ph. K Dick notre fidèle ami !
https://www.youtube.com/watch?v=EPsVeYzg0FI&list=PLOB6lKS4YjvPsjzX7IqChVWVbS0nRBaaL
Ok Phil, dommage mais tant pis. J'espère que tu pourras te libérer et revenir la semaine prochaine.
En attendant, je prends le relais.
1er indice : Un droit chèrement acquis.
Coucou Bee, bisoux.
Oui il a fallu l'attendre longtemps celui là, mais pas ça non plus.
Le droit, pour les femmes, de porter un pantalon. De porter la culotte en quelque sorte !!!!!
Hi hi han Bee, vous vous êtes toujours arrangées pour l'avoir, avec des arguments de charme, même avant qu'il soit reconnu.
Non ce n'est pas ça !
Maître Héremontécontrelinjustice vous donne un indice musical :
https://www.youtube.com/watch?v=kEZhCB8KdWw
Toujours pas Bee, Maître Héremontécontrelinjustice vous donnera le 2ème indice vers 13h15, après la pause picotin de l'âne.
C'est malin, je ne parviens plus à me sortir l'air de l'Internationale de la tête!
Très bonnes pistes Bee, mon énigme tiendra-t-elle jusqu'à 13 h 15 ?
Oui car je m'absente pour me sustenter un peu malgré mon peu d'appétit !
Bisoux Flavy, c'est pas ça, à tout à l'heure les zami e s !
Coucou Flavy
J'adore ta réponse et suis entièrement d'accord avec toi. Il a fallu et faut encore lutter pour jouer. Y sont durs avec nous.
Bisoux aussi Mimie, je ne t'avais point vue, cachée derrière Flavy, allez je m'éclipse un peu !
Je dois partir vers 14h30 et lorsque je reviendrai l'énigme sera trouvée, je n'en doute pas.
Moi aussi je pars tôt alors je me dépêche hihihiih
Mon pauvre Nanon .............
Bonjour les fidèles d'entre les fidèles. Je désespérais de vous voir arriver
Bisous. Bon appétit
Réponse de la femmequitrouvequ'ilyatropdedroitsquel'ondevraitnouscollerunepetitedictaturepaspiqueedesvers....
La démocratie
Oui Flavy, nous résisterons!
Bisous BEE
1907 Les femmes mariées peuvent percevoir leur salaire.
1924 Unification des programmes du baccalauréat masculin et féminin.
C'est vrai, non, nous avons le même cerveau, que diantre!
1938 La réforme du Code civil de 1804 supprime l'incapacité civile de la femme mariée
1965 Le mari n'est plus le « chef de famille ». La femme peut exercer une profession et ouvrir un compte bancaire sans l'autorisation du mari.
On joue à "chaud/froid"?
1987 L'autorité parentale devient « conjointe », que les parents soient mariés ou non.
l'Edit de Poitiers, droit chèrement acquis par les protestants................
qui précédera l'édit de Nantes
S'il n'y avait pas d'injustice on ignorerait jusqu'au nom de la justice. Heraclite
La loi du talion. Rires
La digestion de Tareg risque d'être compromise lorsqu'il prendra connaissance de toutes nos idées!
Le coq Maurice a le droit de chanter dès potron minet.
Le tribunal Rochefort a donné raison ce jeudi à la propriétaire du Coq Maurice, Corinne Fesseau, en déboutant un couple de voisins de leur plainte pour nuisances sonores. Le gallinacé pourra pousser la chansonnette quand il le voudra à Saint-Pierre d'Oléron
La libre circulation des personnes.... bon ce n'a pas été la guerre non plus pour l'obtenir....
Le droit de diffusion des matchs de Foot....................très chèrement acquis !!!!
Pauvre Nanon.....................trop de lecture
Le droit à une aspirine de toute urgence !!!
Re coucou toutes et tous et coucou Pompon, rien de bon pour l'instant sinon votre présence qui fait chaud au coeur !
Un peu de zic, rien à voir avec l'énigme, quoique !
https://www.youtube.com/watch?v=WfD8Dnh2xho
RAPPEL
1er indice : Un droit chèrement acquis.
2ème indice : Payé à crédit.
Petit caillou, dans mon énigme, il est bien question d'argent !
Indice musical en prime : Bob Marley "Get up stand up"
https://www.youtube.com/watch?v=r1PbffNcbCo
Hi hi han, tu es tout froid Foudema, pas de croque-mort dans mon énigme, quoique...
Le conseil européen de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales
1er indice : Un droit chèrement acquis.
2ème indice : Payé à crédit.
Petit caillou, dans mon énigme, il est bien question d'argent !
3ème indice : Une faute reconnue, mais pas réparée.
Indice musicaux : L'internationale
https://www.youtube.com/watch?v=kEZhCB8KdWw
Bob Marley "Get up stand up"
https://www.youtube.com/watch?v=r1PbffNcbCo
RAPPEL
1er indice : Un droit chèrement acquis.
2ème indice : Payé à crédit.
Petit caillou, dans mon énigme, il est bien question d'argent !
3ème indice : Une faute reconnue, mais pas réparée.
IndiceS musicaux : L'internationale
https://www.youtube.com/watch?v=kEZhCB8KdWw
Bob Marley "Get up stand up"
https://www.youtube.com/watch?v=r1PbffNcbCo
Congé paternité pour les papas.
A quand une formation "couches" pour les papas?
Bisous à tous. je dois partir. Bon week-end
Non les zami e s, Maître Héremontécontrelinjustice vous donnera vers 15 h 15 le 4ème indice qui déclenchera le sprint final je crois ! Ça vous va ?
Rho dommage BZZZZ bzzzzzzzzz Bee s'est envolée, à plus ma tite abeille, bizzzzzzz !
Bonjour à tous ... juste un petit tour pour vous embrasser
le droit à la faillite personnelle ... déjà dit ???
c'est mon dernier mot Jean Pierre ...
an de prison et de 45.000 euros d'amende la négation du génocide arménien
3...2....1.... GO !!!
1er indice : Un droit chèrement acquis.
2ème indice : Payé à crédit.
Petit caillou, dans mon énigme, il est bien question d'argent !
3ème indice : Une faute reconnue, mais pas réparée.
4ème indice : Un pays ruiné dès sa création.
Indices musicaux : L'internationale
https://www.youtube.com/watch?v=kEZhCB8KdWw
Bob Marley "Get up stand up"
https://www.youtube.com/watch?v=r1PbffNcbCo
Non les zami e s, pas en Europe, attation Maître Héremontécontrelinjustice veut une réponse précise et expliquée !
Le Vénézuela, à cours de réserves financières, surendetté, le pays est au bord du gouffre et sa population prise à la gorge.
Dix ans après le tremblement de terre qui a fait des centaines de milliers de morts en Haïti, la capitale de Port-au-Prince n'est toujours pas reconstruite. Les bidonvilles se sont agrandis et les camps de fortune qui devaient être temporaires sont devenus permanents.
En 1825, à peine deux décennies après avoir acquis son indépendance contre toute attente, Haïti fut obligé de commencer à payer d'énormes «réparations» aux propriétaires d'esclaves français qu'il avait renversés. Ces paiements auraient été un fardeau énorme pour n'importe quelle nation naissante, mais Haïti n'était pas n'importe quelle nation naissante; c'était une république formée et dirigée par des Noirs qui s'étaient soulevés contre l'institution de l'esclavage. En tant que telle, l'indépendance d'Haïti était considérée comme une menace par tous les pays propriétaires d'esclaves - y compris les États-Unis - et son existence même avait un effet global sur les sensibilités racistes à l'échelle mondiale.
Ainsi, Haïti - minuscule, appauvri et tout seul dans un monde hostile - n'avait guère d'autre choix que d'accéder aux demandes de réparation de la France, qui furent livrées à Port-au-Prince par une flotte de navires de guerre lourdement armés en 1825.
La réponse est bien Haïti, 2 crédits pour Flavy, et 2 crédits aussi à qui d'autre trouvera la raison de la pauvreté endémique de ce pays !
le président Jean-Bertrand Aristide a réclamé officiellement à la France près de 21,7 milliards de dollars en « restitution et réparation » de la dette
A trouver : La repentance de La France envers Haïti
1er indice : Un droit chèrement acquis.
2ème indice : Payé à crédit.
3ème indice : Une faute reconnue, mais pas réparée.
4ème indice : Un pays ruiné dès sa création.
En 1825, la France impose à sa lointaine colonie de payer à prix d'or sa nouvelle indépendance. L'économie de l'île, qui se saigne durant cent vingt-cinq ans pour honorer son contrat, ne s'en est jamais relevée.
La visite, le 17 février , de Nicolas Sarkozy en Haïti, la première d'un chef d'Etat français depuis l'indépendance en 1804 au détriment de la France, a donné lieu à un curieux dialogue à distance entre les présidents des deux pays. Pour le président René Préval, la page de la colonisation, eu égard aux Haïtiens, est bel et bien tournée, aussi bien sur le plan politique que psychologique. Nicolas Sarkozy, lui, s'est prêté à un exercice plutôt surprenant de la part d'un homme peu enclin à la «repentance» quand il s'agit de parler du passé colonial de la France. «Notre présence ici, a-t-il dit, n'a pas laissé que de bons souvenirs.» Puis il a évoqué les conditions de la séparation entre les deux Etats, avant d'ajouter : «Même si je n'ai pas commencé mon mandat au moment de Charles X, j'en suis quand même responsable au nom de la France.»
En remontant à Charles X, il est clair que le président français parlait de la désormais fameuse dette de l'indépendance, objet ces jours-ci d'une pétition demandant son remboursement pour la reconstruction d'Haïti ravagé par le séisme de janvier. De quoi s'agit-il ?
Nous sommes en 1825. Après deux décennies de négociations pour tenter de ramener, sous une forme ou une autre, l'ancienne colonie française de Saint-Domingue dans le giron de la métropole, Paris a compris qu'il allait devoir y renoncer. Pris entre le lobby des colons pressés de récupérer ses biens meubles, les esclaves et immeubles, et celui des commerçants prêts à repartir à zéro pour ne pas perdre le marché juteux de «la colonie la plus riche du monde», Charles X, tout juste installé sur le trône, tranche.
Dans une ordonnance en date du 17 avril 1825, il «concède» au jeune Etat son indépendance contre une indemnité de 150 millions de francs-or pour dédommager les anciens colons et l'assurance d'échanges commerciaux privilégiés en faveur de la France.
Les Haïtiens sont choqués. D'abord, ils sont indépendants de fait depuis le 1er janvier 1804, après avoir battu la puissante expédition Leclerc/Rochambeau venue rétablir l'esclavage dans la colonie. L'indépendance, ils l'ont déjà payée au prix de leur sang. Ensuite, la somme requise dépasse de loin la réalité financière du pays, ruiné par des années de guerre. Qu'à cela ne tienne ! Paris est prêt à aider le gouvernement haïtien à trouver en France un emprunt à des «conditions convenables». «Vous devriez même insister, écrit le ministre de la Marine, le comte de Chabrol, au porteur de l'ordonnance, pour qu'il ne s'adressât pour cet objet à aucun autre pays.»
Il se met ainsi en place un jeu financier complexe que la jeune nation va traîner tel un boulet sur plus de cent vingt-cinq ans. Un exemple : sur la base du calcul des frais, primes, intérêts et capital, et d'un éventuel acquittement dans les temps, le premier emprunt seul s'élève à un montant effectif de 81 millions de francs-or. C'est ce que les historiens nomment «la double dette de l'indépendance» : celle envers l'Etat français pour indemniser les anciens colons et celle auprès des banquiers parisiens. Mais la situation économique du pays, après des années de guerre et un blocus, de fait, n'est plus celle de la florissante colonie d'il y a vingt ans. De plus, par crainte du retour des Français, ses dirigeants se sont lancés dans des constructions militaires d'envergure au détriment de la mise en place d'infrastructures de développement.
Le nouvel Etat a d'autant plus de difficulté à rembourser la dette que, au Havre, le cours du café, la principale source de revenus du pays, ne cesse de chuter. En cinq ans, il est passé de 140 à 85 francs les 100 livres. Pour y faire face, Boyer déclare «dette nationale» l'indemnité et crée, pour la payer, un impôt spécifique qui va peser tout particulièrement sur les masses paysannes. De même, il tente de réduire le train de vie de l'Etat, sans renoncer toutefois à la militarisation à outrance du pays. La raison ? Les menaces régulières de l'ex-métropole devant les difficultés d'Haïti à honorer à temps les traites et les demandes de renégociation du montant de l'indemnité. On est dans une impasse.
La France contrôle les finances du pays
En 1838, les deux pays trouvent enfin un accord. Louis-Philippe Ier, moins intransigeant que Charles X, signe deux nouveaux traités avec l'ex-colonie française de Saint-Domingue. Par le premier, Sa Majesté le Roi «reconnaît» l'indépendance pleine et entière de la république d'Haïti. Le second revoit à la baisse le solde dû de l'indemnité, qui passe ainsi à 60 millions. Au total, l'indemnité aura été de 90 millions de francs-or, que les Haïtiens vont finir de payer en 1883. Pour y arriver, il a fallu mettre sur pied un système bancaire complexe au travers duquel la France aura contrôlé les finances du pays jusqu'à l'occupation étasunienne de 1915. En revanche, les divers emprunts et intérêts auprès des banques françaises, puis étasuniennes, pour régler la «dette de l'indépendance» ne seront définitivement soldés qu'en 1952.
De l'avis des historiens, le paiement de cette «double dette», sans en être la seule cause, aura pesé très lourd sur la situation catastrophique du pays. C'est, on imagine, ce à quoi pensait le président Sarkozy en se référant à Charles X et en parlant de responsabilité «au nom de la France». Bien sûr, la démarche de l'homme politique n'égalera jamais la générosité gratuite dont le peuple français a fait montre pendant le tremblement de terre du 12 janvier. On ose tout de même espérer que ce curieux exercice de «repentance» ne vise pas qu'à positionner la France sur le marché de la reconstruction d'Haïti qui s'ouvre le 31 mars prochain à New York.
(1) «Libération» du 19 février. A lire : «Haïti et la France : 1804-1848, le rêve brisé» de Jean-François Brière, Karthala, 2008.
https://www.arte.tv/fr/videos/093914-000-A/28-minutes-2019-2020-63-221/
bravo une partie de notre histoire bien sombre qu'il ne faut pas oublier .... belle énigme
Merci à Xavier Mauduit, chroniqueur de Arte et France Culture, inspirateur de cette énigme.
Un grand bravo à Flavynette et Kykyjolie qui gagnent chacune 2 crédits.
Je remets mes 3 crédits dans la cagnotte qui passe à 22 crédits.
Immense merci aussi à toutes et tous d'être viendu e s.
Comme quoi l'adage, un(e) ami(e) égaré(e), 12 de retrouvé(e)s a peut-être un fond de vrai !
Je remercie infiniment les Chercheuses et Chercheurs du jour :
Foudema
Bee
Toff
Mimie
Flavy
Pompon
Camphin
Boscavert
Katko
Lulu
Llouise
Kykyjolie
Merci de me communiquer vos disponibilités pour animer la semaine prochaine les zami e s !
Excellente fin d'après midi et bonne soirée à toutes et tous, et bon ouikende aussi !