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Bienvenue au Schmilblicquizz 127 !
Et revoici sous vos applaudissements notre Flavynette !
Toujours pleine d'idées pour vous étonner et vous faire réflexionner,
Prenez place sur son manège enchanté !
https://www.youtube.com/watch?v=1AEQoM0K8nE
Bonjour,
Je vous prie de m'excuser hier je suis partie un peu vite du Schmiblicquizz
Je n'ai donc pas félicité les gagnants Kyky et Phil, et remercier Nanon pour sa très belle énigme
Impardonnable !!!!
Je serai présente vers 13 heures pour vous "soumettre" une énigme
Bon appétit et à tout à l'heure
C'est parti, j'espère vous intéresser !!!
De l'Art, toujours de l'art, quoique.................
Et comme c'est la période un peu calme du déjeuner, je vais en profiter pour vous mettre un peu de musique
Une incroyable déclaration d'amour
https://youtu.be/dU-OD5_Dxrs
Pour information,
je vous donnerai un indice vers 14 heures
Point de karaté dans cette affaire
Bonjour les zami e s, bisoux Flavy ! Et rien à te pardonner !
Le cochon peint par Thierry Lhermite pour Anémone
Coucou Nanon,
wow................il était très beau ce tableau,
dommage le cochon était mieux réalisé que Thérèse hihihihihihi
Pour le moment ça flotte..................comme le temps
mais c'est normal , juste le début !!!
The Fountain by R. Mutt, un simple urinoir manufacturé, retourné et signé « R. Mutt », "oeuvre" de Marcel Duchamp en réalité
J'avais prévu une énigme sur le Land Art
Tout comme j'avais une autre énigme sur un métier disparu.................je la ressortirai plus tard hihihihihi
Hello Camp, ravie de te voir
D'autant que tu nous parles du Kamasutra ...........
affaire à suivre hihihihihi (pas pour l'énigme par contre)
Le temps est venu de vous aider :
De l'Art, toujours de l'art, quoique........
Un jury, une colère et une publication Impériale
Vous êtes au taquet Messieurs
Courbet est dans le coup, et l'académie aussi ................
Le Salon
François Auguste Biard
Quatre heures au Salon
© RMN-Grand Palais (Musée du Louvre) / Daniel Arnaudet
Le premier Salon de 1667, organisé par l'Académie royale de peinture et de sculpture dans le salon carré du Louvre, regroupe pour une exposition commune des membres de l'Académie.
Le jury, favorisant une peinture conventionnelle, devient petit à petit un symbole de conservatisme. Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, les critères de sélection d'admission au Salon sont contestés. D'autres salons et expositions indépendants se multiplient alors en marge du Salon officiel (notons le Pavillon du Réalisme de Courbet). Le plus fameux est le Salon des Refusés de 1863 : cette année-là, 5 000 oeuvres avaient été soumises au jury du Salon, 3 000 oeuvres avaient été refusées. Devant la colère exprimée par les nombreux artistes frustrés, Napoléon III concède cet espace d'exposition.
la piste : gustave courbet merci j'étais partie sur le musée d'orsay après la fondation napoléon mais pas de façon aussi précise
De l'Art, toujours de l'art, quoique........
Un jury, une colère et une publication Impériale
Un point commun entre Gustave Courbet, Camille Pissaro ou encore Édouard Manet.
A trouver : Salon des refusés
Le Salon des refusés s'ouvre à Paris le 15 mai 1863 en marge du Salon officiel et expose, dans douze salles annexes du Palais de l'Industrie, 1 200 oeuvres d'artistes, à l'initiative de Napoléon III lui-même, qui jugeait le jury officiel trop sévère, ce dernier ayant refusé 3 000 oeuvres sur les 5 000 qui lui furent présentées.
Ce Salon est l'une des illustrations de l'émergence, dans la seconde moitié du XIXe siècle, d'une modernité artistique, en opposition avec le goût officiel.
Après 1863, et par abus de langage et conséquemment à ce salon, d'autres expositions regroupant des « refusés » eurent lieu à Paris en 1864, 1873, 1875 et même 1886.
Historique du Salon des refusés
Premières dissidences et grondes
La préhistoire du Salon des refusés remonte à 1846, quand le jury du Salon officiel parisien rejette plusieurs oeuvres de Gustave Courbet ce qui provoque la colère de critiques d'art comme Charles Baudelaire et Jules Champfleury. Il est à noter cependant qu'en 1848, la Deuxième République supprime le jury d'admission, ce qui a pour conséquence un Salon littéralement envahi d'oeuvres de qualité très variable et la réaction très partagée des publics. Le président Louis-Napoléon Bonaparte fait rétablir le jury. L'une des conséquences est la création par Courbet du Pavillon du réalisme, regroupant ses propres tableaux, en marge de l'Exposition universelle de 1855 %u2014 qui incluait le Salon.
En 1859, nouvelle dissidence, un premier salon privé d'artistes refusés lors de la sélection officielle se déroule chez le peintre François Bonvin qui présente chez lui Henri Fantin-Latour, Alphonse Legros ou Théodule Ribot.
En 1861, le peintre et poète Théodore Véron (né en 1820), adresse à Napoléon III, une « supplique des Refusés ». L'empereur ordonne, lors de sa visite au Palais de l'Industrie au mois d'avril 1863, soit une semaine avant l'ouverture du Salon, la création d'un « Salon des Refusés » qui permettra au public de voir les oeuvres non agréées par le jury.
1863, les « Refusés » ont un espace
Cette année-là, en effet, le jury du Salon, désigné par les membres de l'Académie des beaux-arts, refusa plus de 3 000 oeuvres sur les 5 000 envoyées. Face à cette intransigeance, le Salon fut vigoureusement contesté par les postulants exclus, dont Théodore Véron, Antoine Chintreuil ou encore Édouard Manet.
À l'époque, le Salon est la seule façon pour un artiste de se faire connaître et d'acquérir une reconnaissance officielle, unique moyen d'obtenir des commandes publiques et une clientèle.
L'empereur Napoléon III, informé du conflit, décide qu'une exposition des refusés se tiendra au Palais de l'Industrie à Paris, bâtiment construit pour l'Exposition universelle de 1855.
La décision de l'empereur fut publiée dans Le Moniteur universel du 24 avril 1863 :
« De nombreuses réclamations sont parvenues à l'Empereur au sujet des oeuvres d'art qui ont été refusées par le jury de l'Exposition. Sa Majesté, voulant laisser le public juge de la légitimité de ces réclamations, a décidé que les oeuvres d'art refusées seraient exposées dans une autre partie du Palais de l'Industrie.
Cette exposition sera facultative, et les artistes qui ne voudraient pas y prendre part n'auront qu'à informer l'administration qui s'empressera de leur restituer leurs oeuvres. »
Cette décision fut largement contestée par l'Académie et les artistes officiels de l'époque.
Organisation de l'exposition
Un catalogue des artistes refusés ayant accepté de présenter leurs oeuvres fut composé par le comité des artistes refusés qui s'était constitué entre-temps. Néanmoins, nombreux furent ceux qui retirèrent leurs oeuvres et n'exposèrent pas cette année-là. On dénombre cependant 871 participants.
La préface du catalogue manifestait la détermination des non-admis et leur regret du désistement de nombreux refusés :
« Ce catalogue a été composé en dehors de toute spéculation de librairie, par les soins du comité des artistes refusés par le jury d'admission au salon de 1863 ; sans le secours de l'administration et sur des notices recueillies de tous côtés à la hâte. (....)En livrant la dernière page de ce catalogue à l'impression, le comité a accompli sa mission tout entière ; mais en la terminant, il éprouve le besoin d'exprimer le regret profond qu'il a ressenti, en constatant le nombre considérable des artistes qui n'ont pas cru devoir maintenir leurs ouvrages à la contre-exposition. Cette abstention est d'autant plus regrettable, qu'elle prive le public et la critique de bien des oeuvres dont la valeur eût été précieuse, autant pour répondre à la pensée qui a inspiré la contre-exposition, que l'édification entière de cette épreuve, peut-être unique, qui nous est offerte. »
L'exposition se tint donc dans le Palais de l'Industrie en 1863, et a permis à certains artistes de devenir célèbres, comme Édouard Manet qui y a exposé Le Déjeuner sur l'herbe, lequel a déclenché l'une des polémiques les plus violentes de l'histoire de l'art du XIXe siècle. Cependant, l'exposition des refusés n'eut pas lieu les années suivantes. Il faudra attendre jusqu'en 1884 la création du Salon des indépendants, organisé par la Société des artistes indépendants, pour que tous les artistes puissent présenter leurs oeuvres librement, sans être soumises à l'appréciation d'un jury. La devise de ce Salon, « sans jury ni récompenses », témoignait de son désir de liberté. Le Salon des indépendants poursuit aujourd'hui encore la mission qu'il s'était donnée alors.
Réception critique
Il y a peu de réactions de la part de la presse, à l'égard de ces refusés, parmi lesquels se trouvent les peintres de la modernité : Camille Pissarro, Édouard Manet avec trois tableaux : Le Bain (appelé aujourd'hui Le Déjeuner sur l'herbe, Mademoiselle V. en costume d'Espada, Un jeune homme en costume de majo), Henri Harpignies, Henri Fantin-Latour,Whistler, Jongkind, Antoine Vollon avec un Portrait de Joseph Soumy.
Ce Salon étant ouvert à tous les artistes, le meilleur côtoyant le pire, quelques articles, probablement inspirés par l'Académie des beaux-arts, tournèrent cette affaire à son avantage et plus spécifiquement à l'avantage du jury, tel l'article de Maxime Du Camp, ami de Gustave Flaubert, dans la Revue des deux Mondes :
«(....) Cette exhibition à la fois triste et grotesque est une des plus curieuses qu'on puisse voir. Elle prouve surabondamment, ce que du reste on savait déjà, que le jury se montre toujours d'une inconcevable indulgence. Sauf une ou deux exceptions très discutables [%u2026] on y rit comme aux farces du Palais-Royal [%u2026]. »
Cette réaction du public fait l'objet d'un chapitre de Loeuvre d'Émile Zola, roman de la série des Rougon-Macquart, construit autour de la vie du peintre Claude Lantier, où la sympathie de l'écrivain, ami de Paul Cézanne, était acquise aux « paysagistes » qui allaient devenir les impressionnistes.
Les refusés après 1863
En 1864, le gouvernement français et l'administration des Beaux-arts, tout en n'accordant pas officiellement un nouvel espace d'exposition aux refusés du jury, tolèrent que ceux-ci s'organisent en association ou comité aux seuls motifs de pouvoir montrer leurs travaux et sous réserve qu'aucun désordre dans l'espace public ne soit constaté. C'est ainsi qu'Édouard Manet, entre autres, va exposer en marge du Salon Le Déjeuner sur l'herbe, ce qui provoqua un scandale par voix de presse et donc un arrêt d'autorisation préfectorale pour les années suivantes.
En 1867, voyant leurs tableaux toujours refusés par le jury du Salon, Auguste Renoir, Frédéric Bazille, Claude Monet, Alfred Sisley et Camille Pissarro signent une pétition pour le rétablissement d'un espace destiné aux refusés, mais en vain. Ils commencèrent à envisager de tenir leur propre exposition. En 1868, Charles-François Daubigny, alors membre du jury, est leur allié. Son plaidoyer obstiné permet aux futurs impressionnistes d'être enfin acceptés au Salon de 1868.
Dans la mouvance de la forte réaction politique après les événements parisiens de 1870-1871, la gronde s'amplifie dans certains milieux artistiques face aux conservatismes. En 1873 et 1875, toujours en marge du Salon officiel, un espace est ouvert aux refusés. Cette situation prend fin, en partie, en 1881 avec la réforme qui brise le monopole du Salon, transformé en Salon des artistes français, réorganisation qui permet l'éclosion de nombreux autres salons.
Merci à tous d'être là
Je vous en propose une autre, ou c'est assez comme disait le cachalot
je me Yvannise !!!
Nanon tu étais tout près avec Gustave Courbet, 3 toiles refusées et même pas "l'origine du monde"
on est connecté quelque part en fait ! et oui beaucoup de temps sur le clavier alors ça va vite
se faire embarquer par les gendarmes , c'est pas cher et fiable ! idem pour la police et les pompiers nannn ? ça le fait pas ?
Pour vous aider c'est un envoi un peu particulier
dans un système de transport très fiable
Rappel :
Un transport très particulier
Pas cher et fiable
il y avait véritablement un colis pour un transport
Ce n'est pas faux............je porte très souvent des chapeaux
J'aime bien !!!!!
Un transport très particulier
Pas cher et fiable
Le règlement a du être modifié pour éviter la récidive
Je ne sais pas comment vous aider plus..............sans vous dévoiler l'énigme
Si...................je peux vous préciser que
ça s'est passé un dimanche, un dimanche au bord de l'eau lalallalala
Le transport le plus fiable et le plus utilisé !!!
Après il va vous manquer le colis, car c'est ça l'énigme
Un transport très particulier
Pas cher et fiable
Le règlement a du être modifié pour éviter la récidive
Aux USA, il a été légal d'envoyer les enfants par colis postal
A trouver : Charlotte May Pierstorff a été livré par colis postal le 19.02.1914
Charlotte May Pierstorff (12 mai, 1908-1925 Avril, 1987) a été livré en vie par le système postal États-Unis par colis postal le 19 Février 1914. Après l'incident, les règlements de colis postaux ont été modifiés pour interdire l'envoi de l'être humain. Il a fallu 10 ans après la mort de Mai pour elle d'être reconnu pour être envoyé par la poste.
En 1997, Michael O. Tunnell a écrit un livre pour enfants, postale mai, tournant autour de l'enfance de mai.
.C'était le 19 février...
1914, la petite Charlotte May Pierstorff est envoyée par la poste à ses grands-parents distants de 100km de chez elle dans l'Idaho. Le moyen de transport le moins cher et pas mal utilisé à l'époque pour transporter les bébés. On avouera qu'il faut avoir sacrément confiance dans le facteur
Aux USA, il a été légal d'envoyer les enfants par colis postal
L'envoi de colis postaux aux États-Unis a débuté le 1er janvier 1913 et selon le règlement le poids des colis ne devait pas dépasser 50 livres (environ 23kg), mais il n'a pas été précisé que l'on ne pouvait expédier un enfant via le Parcel service post.
Les frais postaux revenaient beaucoup moins chers que les billets de train, ce qui a poussé certains parents à envoyer leurs enfants par colis à leurs grands-parents par exemple. Les enfants portaient des timbres postaux et voyageaient dans le compartiment du train réservé aux courriels et aux colis, accompagnés d'un facteur, jusqu'à destination.
Après avoir entendu parler de plusieurs cas d'envoi d'enfants par colis, le ministre de la poste a émis de nouvelles réglementations interdisant cette pratique.
mais même en lisant les réponses de foudema je ne vois pas ohhhhh que y a mal à la tête !
Je vous remercier de cette participation, vous êtes formidables
Bravo donc à Kykyjolie et Foudemma, les gagnants de ce jour
dans 2 énigmes très différentes
Bonne fin de journée
ah oki , bah le côté fiable je le voyais de nos jours et il n'est pas fiable , mais c'est sur que pour envoyer un enfant par la poste ... pas fiable non plus
Les parents envoyaient pas la poste leurs enfants chez les grand parents car moins cher que le train
J'ai vu une photo de l'époque où un facteur a dans sa sacoche un bébé !!!
non y a pas ! pas fiable , le plus fiable surement mais pas fiable avant et maintenant (c'est comme prendre l'avion c'est le plus fiable mais pas fiable)
bravo foudema
Je remercie beaucoup
Nanon
Phil
Caméléon
Camphin
Kykyjolie
Michix
Paula
Foudemma
Louise
Je vais laisser Nanon, payer l'addition
comme toujours,
c'est lui le trésorier payeur....................et il le fait parfaitement bien
Ouf ! Je rentre seulement des Echecs et Je ne dirais que 2 choses ( ou 3, ou 5 ) :=))) !
1) Bravissimo à Flavynette qui gagne 4 crédits pour ses 2 superbes énigmes et son animation toujours aux petits soins !
2) Ils sont fous ces Ricains (2ème énigme ! )
3) Grand BRAVO aussi à Kykye et Foudema, les inventeurs (dans le sens de chercheurs-trouveurs) du jour qui gagnent chacun 2 crédits !
4) Demain vous retrouverez Kykyjolie, et peut-être Caméléon ensuite pour une 2ème énigme...
5) Un grand merci aux fidèles Schmilquizziennes et Ziens. Très bonne soirée et à demain !